Mijoté de PST au miso (À la découverte de produits surprenants #5)

Bonjour, bonjour !

Et oui me revoilà avec mes fameuses PST ! Il y a quelques semaines, je me demandais encore pourquoi j’en avais acheté autant en une seule fois et qu’est-ce que j’allais bien pouvoir en faire. Finalement, elles vont bien me servir durant la période de confinement à m’apporter ma dose de protéines journalière. Je pense que je vais très vite maîtriser le sujet car avec quelques épices, aromates et condiments on les cuisine très facilement. Agrémenté ici de quelques carottes, on obtient un plat délicieux, facile à préparer et pas cher. On peut l’accompagner de légumes rôtis au four et d’un mélange de céréales, par exemple, pour un repas équilibré. 

Focus sur le miso 

Pour réaliser la marinade de mes PST, j’ai utilisé du miso. Si vous n’en avez pas en stock, on peut le remplacer par du sel. Le miso est un produit fermenté qui nous vient du Japon. On le fabrique également en France maintenant à partir de différentes céréales comme le riz ou l’orge ou de légumineuses, le soja. En fonction de l’ingrédient de base utilisé et le temps de fermentation, il sera plus ou moins corsé et salé. Personnellement, je n’utilise pour le moment que le miso blanc (le moins corsé) à base de soja. Il se vend en bocal sous forme de pâte que l’on utilise donc comme un condiment qui s’incorpore très facilement dans notre alimentation dans une sauce, une vinaigrette, un bouillon, une marinade comme ici. Contenant tous les acides aminés essentiels, de la vitamine B et des enzymes, il est intéressant de l’intégrer à petite dose dans son alimentation. On le trouve en magasin bio ou dans des épiceries japonaises. Pour profiter un maximum de ses bienfaits, on choisira si possible un produit non pasteurisé. 

Les ingrédients pour 4 personnes 

La marinade : 

  • 1 cuillère à soupe de miso blanc, 
  • 1 cuillère à soupe de sucre, 
  • ½ cuillère à café de sel, 
  • 1 cuillère à soupe d’herbes de Provence, 
  • 3 cuillères à soupe de farine de maïs. 
  • 1 cube bouillon ou 3 Carrés Futés de votre choix, 
  • 200 g de PST (boulettes). 

Le mijoté : 

  • 5 carottes, 
  • 1 gros oignon, 
  • 2-3 gousses d’ail, 
  • 1 cuillère à café gingembre moulu, 
  • 1 pincée de piment moulu,
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive. 

Temps de repos : 30 minutes

Temps de cuisson : 35-40 minutes

Niveau de difficulté : Très facile 

Coût : €€

Spécificité de la recette : Recette végétalienne, sans œuf, sans lactose, sans gluten

La recette : 

1/ Faire chauffer une grande casserole d’eau et y faire fondre le cube bouillon. Ajouter les PST et laisser cuire une dizaine de minutes. Égoutter en conservant le bouillon de cuisson. 

2/ Préparer la marinade en mélangeant le miso, le sucre, le se, les herbes de Provence et la farine de maïs. 

3/ Mettre les PST dans un saladier et verser la marinade dessus. Bien mélanger et laisser mariner 30 minutes. 

4/ Pendant ce temps, peler et émincer l’oignon. Le faire revenir dans l’huile d’olive dans une cocotte en fonte ou une grande sauteuse. 

5/ Presser l’ail et l’ajouter avec les épices dans la cocotte.

6/ Éplucher et couper en rondelles les carottes. Les ajouter dans la cocotte ainsi que 700 ml du bouillon de cuisson des PST. Laisser cuire une vingtaine de minutes. Il faut que les carottes soient cuites. 

7/ Ajouter les PST et la marinade et prolonger la cuisson 5 minutes. 

8/ Rectifier l’assaisonnement et servir bien chaud. 

Source : myrtee.fr

Les conseils spécial confinement de la Marmotte 

Aujourd’hui, j’aimerai aborder un sujet un peu particulier : s’informer. Nous vivons à l’heure de l’information, rien ou plus grand-chose n’échappe à la moulinette des grands médias. Alors rester informer oui mais sombrer dans la psychose ou l’hystérie non. Comment faire la part des choses pour garder la tête froide ? Voici les astuces que j’applique au quotidien. 

1/ Ne pas rester devant les chaines d’info continu toute la journée. 

2/ Éteindre sa télé pour ne pas subir un matraquage constant sur le Covid-19. Si on veut regarder un programme en particulier à la télé, passons par des applications comme Molotov, france.tv, myCANAL, etc. 

3/ Twitter, Facebook et Instagram ne sont pas des sources d’information fiables. S’y propage beaucoup de rumeurs et de fausses informations. 

4/ Ne pas accorder de crédit à ce que peuvent raconter Pierre, Paul, Jacques sur les réseaux sociaux. Certaines personnes se disent faire partie du corps médical alors que c’est faux et profitant de cette fausse notoriété pour raconter des bêtises. 

5/ Ne pas relayer les rumeurs et les fausses informations sur nos comptes. 

6/ Garder à l’esprit que même le corps médical est bien loin de tout connaître sur ce nouveau virus et que même les médecins et les grands professeurs sont faillibles. Certains médecins ont déjà fait leur mea culpa en expliquant qu’ils avaient sous-estimer l’ampleur du phénomène. 

7/ Aller chercher l’info soi-même quand on veut être informer et croiser les sources d’information. 

8/ Réfléchir par soi-même et ne pas se contenter des analyses des journalistes. 

9/ Savoir relativiser et prendre du recul sur la situation même si ce n’est pas facile car nous sommes inondés de négativité en ce moment. Il y a toujours un coin du ciel qui reste bleu. 

10/ Respecter les consignes du gouvernement même si on ne les comprend pas toujours. 

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